|
发表于 2008-4-14 17:50:36
|
显示全部楼层
La scène dans laquelle Jean convainc le général chinois de lui laisser organiser un opéra, baptisé "Carmeng", et l'opéra lui-même, sont fabuleuses ! Sans parler des dialogues hilarants, du genre :
"versez-moi une subvention pour mon théâtre, vous savez, tous les théâtres sont subventionnés, même ceux qui le sont pas"
ou encore, avant la représentation, le gouverneur de France présente au général chinois un membre de la "Comédie... euh, pardon, de l'Académie, française", lequel est coiffé de la fameuse bicorne !!!
J'insisterai enfin sur le jeu des acteurs, jouissif et souvent hilarant ! je pense tout particulièrement à Prévost et Serrault, parfaites crapules collabos-résistantes, à Préboist, prêtre coco, et chinois de son état, ou encore Macha Meril et Nicole Calfan, toutes deux très belles, enfin surtout Nicole ! Elle me donnerait presque envie de lire ses romans.. A titre de bonus, quelques photos de la belle en prime, relativement dénudées, pour rester fidèle à mes habitudes..
Pour en revenir au film, c'est peu dire que je vous le conseille...
lire la suite
Par Copeau | dim 20 novembre 2005 à 10:42 | Cinématique | 7 | 0
Les dérives des socialistes lyonnais - première partie : Saint-Fons
J'entame, une fois n'est pas coutume sur ce blog qui aborde assez peu ce genre de problèmes, une série de billets consacrés à nos amis les socialistes lyonnais, démarche qui aura au moins le mérite d'ancrer un peu plus territorialement ce blog, et d'exposer de manière modeste mais néanmoins fidèle à nos lecteurs, qui, sauf exception, ne sont précisément pas lyonnais, les dérives manifestes d'un système maçonnico-associatif, lesquelles ont provoqué une mise en coupe réglée de l'argent des contribuables, mais qui, à la différence d'un certain couple explosif composé de Michel Noir et de Pierre Botton, mâtiné de PPDA, ne font absolument pas l'objet du moindre article dans la presse nationale. Deux poids deux mesures ? probablement, car les protagonistes dont il s'agit ne sont pas des présidentiables sérieux, ni même, pour certains d'entre-eux, des ministrables.
Mais je ne puis m'empêcher de penser que ce n'est pas la seule raison. Qu'on ne saurait critiquer le parti socialiste, parti de la Justice, de la Morale et du Bonheur.
Premier épisode, donc, consacré à une ville du sud de l'agglomération, de 16 000 habitants : Saint-Fons. Ville qui a comme caractéristique une très forte proportion de population musulmane, mais qui, socialiste jusqu'en 2001, a basculé à droite depuis. Et voici comment le scandale arriva.
Michel Denis, le nouveau maire, s'interroge. Il s'inquiète, avant même son élection, des modalités de paiements de certaines factures. De transferts d'argent étranges. Il invite l'ex-inspecteur Gaudino, celui qui lança en son temps l'affaire Urba, celle des financements occultes du PS, et devenu depuis détective privé, à se pencher sur la question. Il en ressort, à l'appui d'un dossier de 1000 pages, un véritable système de détournement de fonds publics, qui, entre 1996 et 2001, ont alimenté le Parti socialiste du Rhône, par le truchement de l'ancien maire, Yves Mongeot. |
|